Como Primer Ministro de facto bajo el régimen de Muammar Gaddafi, Saif Gaddafi es buscado por la CPI por crímenes de lesa humanidad luego de las manifestaciones populares de Libia en febrero de 2011. Aún permaneces detenido en Libia.
Ex-Primera Dama de Costa de Marfil. Cumple una sentencia a 20 años de prisión por socavar la seguridad estatal. Costa de Marfil aún tiene la obligación de entregarla a La Haya para enfrentar cargos por crímenes de lesa humanidad entre 2010 y 2011.
El Sr. Al-Werfalli es buscado por la CPI por asesinato como crimen de guerra en el contexto del conflicto en Libia. Según se informa, el sospechoso estaría bajo la custodia del Ejército Nacional Libio (LNA).
Mr Al-Werfalli is wanted by the ICC for murder as a war crime in the context of the conflict in Libya. The suspect is reportedly in the custody of the Libyan National Army (LNA).
L’ancienne Première Dame de Côte d’Ivoire, purgeant une peine de 20 ans de prison pour avoir sapé la sécurité de l’État. La Côte d’Ivoire reste obligée de la rendre à La Haye pour faire face à des crimes contre l’humanité entre 2010 et 2011.
En tant que Premier ministre de facto sous le régime de Mouammar Kadhafi, Saif Kadhafi est recherché par la CPI pour des crimes contre l’humanité suite au déclenchement de manifestations populaires en Libye en février 2011. Il est emprisonné en Libye.
Abdullah al-Senussi a été accusé par la CPI de crimes contre l’humanité en 2011. La Libye a contesté la recevabilité de l’affaire par la CPI et en a arrêté l’extradition. Condamné à mort par un tribunal libyen en 2015.
Chargé de 70 chefs d’accusation de crimes de guerre et de crimes contre l’humanité dans l’Ouganda, le procès de l’ancien commandant de l’Armée de résistance du Seigneur (LRA) a commencé le 6 décembre 2016. Premier suspect de la LRA devant la CPI.
Bosco Ntaganda, chef de la milice congolaise, est accusé de crimes de guerre et de crimes contre l’humanité, prétendument commis en Ituri (RDC). Son procès a commencé en septembre 2015.
Le chef rebelle congolais Germain Katanga a été reconnu coupable par la CPI en mars 2014 de crimes de guerre et de crimes contre l’humanité lors d’une attaque contre le village de Bogoro en Ituri, dans l’est de la RDC. Condamné à 12 ans d’emprisonnement.